Pour un travailleur, cela peut être un ensemble de contraintes relatives aux exigences d’une tâche.
« La chercheuse Nicole Brais de l’Université Laval de Québec la définit comme « ce travail de gestion, d’organisation et de planification qui est à la fois intangible, incontournable et constant, et qui a pour objectifs la satisfaction des besoins de chacun et la bonne marche de la résidence. » Génératrice de stress, cette charge concerne surtout les femmes qui, en plus de leur emploi, s’assurent que la boutique tourne correctement. » Article publié le 10/05/2017 dans l’Express.
Alors comment en sortir ?
Peut-être juste réaliser que nous ne sommes pas toujours obligés de tout faire nous même. Apprendre à demander de l’aide et solliciter nos proches… qui seront certainement surpris parce que tellement habitués à ce que nous fassions tout à leur place. Avec un peu d’ingéniosité et de bienveillance, il est possible de lâcher prise, de nous libérer de cette pression et peut-être même d’avoir la surprise de se rendre compte que nos proches acceptent finalement s’en rechigner… parce qu’au fond nous ne leur laissions pas la place qu’ils auraient dû ou pu prendre.
Pour le travailleur, est-il possible de déléguer, d’apprendre à gérer le temps et les tâches de façon à ne pas se laisser envahir mentalement ?
Sinon il reste des méthodes de bien être, comme la sophrologie par exemple, pour prendre du temps pour soi, permettant de se poser, de prendre du recul. Observer dans ce retour à soi qu’il est possible de prendre conscience de notre mode de fonctionnement et comment nous pouvons nous autoriser à le modifier.
Apprendre à gérer le stress et se respecter tout en respectant les autres pour se libérer de cette charge mentale.